Léonard Tsuguharu Foujita, un peintre franco-japonais ?
[Conférence] Anne LE DIBERDER (Maison-atelier de Foujita, Villiers-le-Bâcle)
18 h 30 – 20 h 00 salle 601 en français sans traduction
© Maison-atelier Foujita, CD 91/Fondation Foujita ADAGP2018
Léonard Tsuguharu Foujita, enfant chéri de la France des années folles, occupe une place singulière dans l’histoire de l’art du 20e siècle. Sa vie et son œuvre sont en perpétuelle oscillation entre la France et le Japon. Le département de l’Essonne abrite son dernier atelier et le seul musée monographique consacré à ce peintre. Situé à Villiers-le-Bâcle au sud de Paris, cette maison d’artiste est un lieu privilégié, où vie privée et espace de création s’imbriquent. Les objets racontent la trajectoire exceptionnelle d’un artiste japonais naturalisé français qui a choisi de vivre en France sans jamais renier ni ses racines ni son pays d’adoption.
Profil :
Anne Le Diberder est directrice de la Maison-Atelier Foujita, à Villiers-le-Bâcle, Conseil Départemental de l’Essonne. Diplômée de l’Ecole du Louvre et conservatrice déléguée des Antiquités et Objets d’Art – Patrimoine du XXe siècle, elle a participé au commissariat et à la rédaction d’ouvrages tels que Foujita, l’art du trait (2017), Foujita et la photographie (catalogue de l’exposition Léonard Foujita et ses modèles, Kawamura, Japon 2017), ou encore Foujita, le maître du trait (2008).
Modérateur : Matthieu Séguéla (LFIT, chercheur associé de l’UMIFRE 19 – MFJ)
Organisation : Société des Études Japonaises de Tokyo, UMIFRE 19 – MFJ
Entrée libre, inscription obligatoire : sejt.contact@gmail.com
En français sans traduction