lundi 04 février 2013 / 17 h - 19 h | |
salle 604 |
Organisé par le Groupe de lecture PHILIA Co-organisé par le Bureau français de la Maison franco-japonaise Participation sur réservation auprès de Mme Daniella Séville-Fürnkäs : daniseville[à ajouter @yahoo.fr] |
* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.
samedi 09 février 2013 / 17 h 30 - 19 h | |
salle 601 | |
Maxime PIERRE (ambassade de France / Institut français du Japon) |
Profil : Maxime Pierre est attaché de coopération pour le français à l'ambassade de France et chargé du pôle français, livre, francophonie de l'Institut Français du Japon. Formé à l'université de Nancy II, puis de Paris IV il est agrégé de lettres classiques. Il a soutenu en 2008 à l'université de Paris VII une thèse en cours de publication sous le titre « Quand chanter n'est pas chanter : étude d'une énonciation romaine à l'époque classique » sous la direction de Madame Florence Dupont. Ses travaux portent principalement sur la poésie, la liturgie et le théâtre romain. Résumé : Les poètes romains ont, dit-on, imité la poésie grecque, mais que faut-il entendre par « imiter »? Une incapacité des Romains à créer leur propre poésie qui les condamnerait à singer les grecs, ou un geste culturel maîtrisé ? Que faut-il comprendre quand Horace se dit nouveau Pindare, Properce nouveau Callimaque ? Pourquoi l'Enéide de Virgile commence-t-elle comme une Odyssée et finit-elle comme une Iliade ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre par une analyse de ce que nous pouvons nommer une « poétique de la refondation ». Modérateur : Odile DUSSUD (univ. Waseda) Organisation : Société franco-japonaise des études grecques et romaines Avec le soutien de : Bureau français de la MFJ |
* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.
mardi 12 février 2013 / 18 h - 20 h | |
salle 601 |
Séance consacrée à la valorisation de la thèse Avec la participation d’Hélène LE BAIL, Christine LEVY, Arnaud NANTA et Laurent NESPOULOUS) Ce séminaire est destiné aux doctorants francophones en sciences humaines et sociales travaillant sur le Japon. Le but du séminaire est de permettre aux doctorants de présenter leurs travaux achevés ou en cours. À chaque séance, deux intervenants disposent chacun de 30 minutes de présentation orale, puis 30 minutes sont dédiées à la discussion collective. Contact : doctorantsmfj (ajouter @gmail.com) |
* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.
vendredi 15 février 2013 / 18 h 30 - 20 h 30 | |
salle 601 | |
Jacques PEZEU-MASSABUAU (géographe, ancien pensionnaire à la MFJ) |
Profil : Agrégé d'histoire-géographie (1957) et docteur d’Etat (1974) avec une thèse sur « La maison japonaise », Jacques Pezeu Massabuau a commencé sa carrière à Saigon pour devenir ensuite « pensionnaire » à la MFJ de 1960 à 1963. Il a été quelque temps attaché de recherches au CNRS ( 1964-1972) pour revenir enfin définitivement si on peut dire au Japon. A l’Athénée français et comme chargé de cours dans plusieurs universités japonaises à Tokyo. Il a publié de nombreux ouvrages, sur la pédagogie du français, des Etudes Extrêmes Orientales, en particulier sur le Japon, la Chine et la Corée et une dizaine d’essais sur l’anthropologie de l’habiter. Plusieurs de ces publications ont été traduites en langues étrangères et en particulier en japonais. Il a collaboré également à plusieurs revues scientifiques sur les mêmes thèmes. Par ailleurs Jacques Pezeu Massabuau est photographe et a publié plusieurs albums dont deux sur le Japon. Résumé : Depuis un demi-siècle environ, Jules Verne a pris rang irrésistiblement parmi les grands écrivains : colloques, séminaires, thèses et sujets de concours l'attestent en tout pays. Romancier de l'Aventure et du Voyage, il avait décidé de promener ses lecteurs à travers la Terre entière, et y parvient en quarante années de labeur (1863-1905) et quelque soixante-cinq récits. Dans ces Voyages extraordinaires, l'Asie tient une place importante, surtout l'Inde et la Chine (il consacra un roman à chacune), mais l'Asie du Sud-Est et la Corée sont oubliées. Quant au Japon, il n'y figure que comme un bref épisode du Tour du monde en quatre-vingts jours. C'est en effet en quinze pages seulement - sur deux cent quatre-vingts - que l'écrivain y expose sa vision de l'archipel. Image rapide, limitée à l'unique cité de Yokohama où Passepartout erre sans son maître Philéas Fogg, mais que Verne réussit à rendre vivante et foisonnante. Pourtant ce Japon qu'il nous fait entrevoir par la description, le dialogue et ses propres jugements reste, tel un paravent, imagé et coloré mais dénué de profondeur. Car il ne tire son existence que du langage et de procédés d'écriture que l'auteur utilise avec son adresse habituelle. Certes l'éloignement géographique et la soif d'exotisme en faussaient déjà la représentation aux yeux de ses contemporains, mais l'approche imaginaire qu'en offre le Tour du monde achève de la rendre illusoire à travers la banalité du récit. Car celui-ci confère à ce pays une autre réalité, de nature onirique, conforme à une magnification du réel dont l'écrivain avait, et garde à nos yeux, le secret. Modérateur : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ) Organisation : Bureau français de la MFJ Collaboration : Société japonaise des études verniennes |
* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.
vendredi 22 février 2013 / 12 h 30 - 14 h | |
auditorium | |
Robert DUJARRIC (Temple University) |
Résumé: In 2010 and again in 2012, the Senkakus (Diaoyu in Chinese) surfaced as a major source of conflict between Japan and China. But this dispute can only be understood in the broader context of the three territorial questions : the Northern Territories/Southern Kuriles, the Liancourt Rocks (Dokdo/Takeshima) and the Senkakus/Diaoyu. They are closely linked to Japan's "history issues" with the Asian mainland as well as "unfinished business" from the Second World War. Today, they also cannot be separated from the geopolitics of the confrontation between China and the United States and its allies, including Japan. Profil: Robert Dujarric is Director of the Institute of Contemporary Asian Studies (ICAS) at Temple University, Japan Camus, in Tokyo. His major research interests are Japan, Asian security, and US foreign policy. He is a former Council on Foreign Relations (Hitachi) Fellow in Japan and author of several books and articles. Raised in Paris and New York City. He holds a Harvard AB, and Yale MBA. (For a more detailed biography, visit http://www.tuj.ac.jp/icas/staff.html). Discussant: Hélène LE BAIL (UMIFRE 19, MFJ) Organization: Bureau français de la MFJ Co-organization: CCIFJ Programme en PDF |
* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.
Agenda du Bureau Français > février 2013